Développement Durable

Le LBE s’inscrit dans la dynamique durable et responsable, en cohérence avec :

• le plan climat-biodiversité et transition écologique de l’Enseignement supérieur et de la Recherche,
• la transition écologique , le dispositif Services publics écoresponsables (SPE) 
• le Plan d’action Responsabilité Sociétale et Environnementale INRAE.

En s’engageant dans la responsabilité sociétale, INRAE se mobilise tout entier, pour contribuer à l’atteinte des objectifs de développement durable, en maximisant les impacts positifs et minimisant les impacts négatifs de ses activités sur les plans environnemental, social et économique. 

Objectifs

L’objectif est de mesurer et analyser les impacts de ses décisions et des activités du laboratoire pour les faire évoluer, en ayant un comportement éthique et transparent, en respectant la réglementation en vigueur et en considérant les attentes de nos partenaires. 

Organisation

Un groupe de travail est dédié au développement durable. Il structure ses actions en 6 axes :

Le pilotage et l’animation de ce groupe de travail Maud Porte (TR) et Virginie Rossard (IE).

Actions réalisées

Sensibilisation des agents :

• Par mails, affichages pédagogiques, 
• Ateliers collaboratifs 
• Séminaires sur les thématiques du climat, de la mobilité douce, du tri des déchets, de la biodiversité, du numérique, des éco-gestes, …
• Bilan sur les gaz à effet de serre (BGES)

Organisation :

• Mutualisation des achats de consommables et produits chimiques avec estimation au plus juste des besoins. 
• Mise en œuvre d’une procédure de tri de l’ensemble des déchets du laboratoire.
• Mise à disposition de vaisselle réutilisable pour réduire les déchets. 

Gestion raisonnée des espaces verts :

• Vigilance sur l’absence de produits phytosanitaires, 
• Préservation d’orchidées locales, 
• Fauche tardive, paillage, 
• Arrosage raisonné, 
• Pose de nichoirs, 
• Lutte écologique contre les chenilles processionnaires, 
• Amélioration de l’environnement de travail par l’aménagement des extérieurs (installation de pergolas, plantation d’arbres, mise en place d’un jardin collectif).

Réduction de l’empreinte numérique par : 

• Réutilisation des équipements informatiques en interne (procédés expérimentaux, appareils analytiques), valorisation des matériels en fin de vie par don à une association locale, campagnes de nettoyage des données (mails, serveurs, etc.)

Perspectives

Cette dynamique est appelée à se renforcer encore dans les années à venir, en lien avec les objectifs à venir du projet d’unité 2026-2030.
L’ensemble de ces actions témoigne d’un engagement structuré, concret et évolutif du LBE en faveur de la transition écologique. 
L’approche retenue, centrée sur la participation active des agents, la cohérence avec les orientations stratégiques d’INRAE, et l’inscription dans les dynamiques locales, place le développement durable au cœur du fonctionnement de l’unité. 

Focus sur le projet Aménagement pour la Biodiversité et le Bien-Être

Le LBE a engagé des efforts significatifs en faveur de la biodiversité, notamment à travers le projet pépinière ABioBE (Aménagement pour la Biodiversité et le Bien-Être) initié en 2021 et qui a bénéficié d’un financement de 25 k€ en réponse à un appel à projet national INRAE. Il vise à conjuguer préservation de la biodiversité et amélioration de la qualité de vie au travail. Le site du LBE, implanté dans un environnement semi-naturel, présentait initialement des espaces peu aménagés et une biodiversité limitée. 

Un Projet fédérateur sur plusieurs années

Le projet s’est appuyé sur des actions concrètes : plantation de 190 arbres, installation de nichoirs et aménagement d’espaces conviviaux avec pergola, aires sportives et jardin en libre accès. 
Dans une dynamique participative, ces actions ont impliqué les agents et plusieurs partenaires locaux (LPO, Parc naturel régional, CAUE de l’Aude), assurant la cohérence écologique du projet. 
Les premiers bilans sont positifs, avec une appropriation progressive des aménagements par les agents et des résultats prometteurs en termes de préservation de la biodiversité. Le projet fait l’objet d’un article dans la revue Novae d’INRAE.